La prune peut se déguster tout l’été, de juillet à septembre. Elle se consomme crue, cuite ou séchée (on parle alors du pruneau, à partir de prune rouge ou bleue, de préférence de prune d’ente ou quetsche).
Manger des prunes est un bon moyen de faire le plein d’anti-oxydants qui permettent de lutter contre les radicaux libres. Sa teneur en fibres lui confère également des vertus laxatives idéales en cas de constipation.
Recommandée en cas de fatigue, elle est très riche en vitamine A (maintien d’une vision et d’une peau normales, d’un système immunitaire efficient). Sa teneur élevée en potassium facilite l’élimination rénale et le maintien de la tension artérielle.
La prune est également une source non négligeable de magnésium, calcium et phosphore, de vitamines comme :
– la vitamine B, idéale pour maintenir un équilibre nerveux et un sommeil de qualité, pour lutter contre l’anxiété et les états dépressifs
– la vitamine C qui assure une bonne santé des os et des dents en favorisant la fixation du calcium ; protège contre les infections en renforçant le système immunitaire ; favorise l’absorption du fer ; améliore la capacité cognitive et physique ; lutte contre le vieillissement de la peau
– la vitamine E – la vitamine anti-oxydante – qui empêche le vieillissement des cellules, neutralise les radicaux libres et stimule le système immunitaire .
Côté verger, le prunier peut atteindre 5 à 6 mètres de haut. Il est peu exigeant quant à la nature du sol et apprécie les endroits ensoleillés. Après une floraison qui a lieu entre mars et avril (attention, le prunier est très sensible au vent et aux gelées tardives), il donnera de belles prunes de juillet à septembre (selon les variétés).